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Informations régionales : Hauts-de-France et Normandie orientale (Haute-Normandie)
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| Région Hauts-de-France |
| Répartition géographique |
Nord - Pas de Calais (HENDOUX et al. 2005) : Boulonnais, plaine maritime picarde (dunes et marais arrière-littoraux), plateau du Montreuillois, Avesnois. Picardie (HAUGUEL 2014) : La Laîche puce n'est présente qu'à l'état de faibles populations dans quelques marais arrière-littoraux, du Laonnois, du Tardenois et du Valois. Elle a régressé de manière sensible depuis la fin du XXème siècle, notamment dans l'Aisne. Réduire Nord - Pas de Calais (HENDOUX et al. 2005) : Boulonnais, plaine maritime picarde (dunes et marais arrière-littoraux), plateau du Montreuillois, Avesnois. Picardie (HAUGUEL 2014) : La Laîche puce n'est présente qu'à l'état de faibles populations dans quelques marais arrière-littoraux, du Lao Suite |
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Nord - Pas de Calais (HENDOUX et al. 2005) : La Laîche puce est très discrète, autant par sa taille que par sa fréquence. Quelques-unes des localités connues de cette frêlecypéracée sont en partie protégées, soit par convention degestion, soit par la réglementation (Réserve naturelle régionale).La gestion du tapis herbacé (par pâturage extensif par exemple)ainsi que la préservation de la qualité de l'eau qui alimente seshabitats sont néanmoins indispensables pour une conservationoptimale de ses populations. Picardie (HAUGUEL 2014) : La Laîche puce ne subsiste que dans les prairies à Molinie et les bas-marais en très bon état de conservation. Elle y est particulièrement discrète et il est très difficile d'estimer l'état de ses populations. Cependant, à la lumière de la régression qu'elle a subi historiquement et du fait de l'isolement des populations relictuelles, elle est considérée comme étant dans un état très défavorable de conservation. Cette espèce ne supporte pas la concurrence et donc la fermeture du tapis végétal ; elle est principalement menacée par l'absence d'entretien de certains marais tourbeux (boisement spontané ou volontaire, arrêt du pastoralisme ou du fauchage). Par ailleurs, l'assèchement et la minéralisation consécutive des tourbes lui sont également néfastes. La création de zones à nue (étrépage, création de platières) est favorable à l'installation de l'espèce. La gestion doit ensuite viser à exporter la matière organique qui se développe chaque année, soit par fauchage, soit par pâturage extensif. Réduire Nord - Pas de Calais (HENDOUX et al. 2005) : La Laîche puce est très discrète, autant par sa taille que par sa fréquence. Quelques-unes des localités connues de cette frêlecypéracée sont en partie protégées, soit par convention degestion, soit par la réglementation (Réserve naturelle régio Suite |
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| Normandie orientale (Haute-Normandie) |
| Répartition géographique |
Considérée jadis comme peu commune dans l'Eure [NIEL 1889] et rare en Seine-Maritime [BLANCHE & MALBRANCHE 1864]. De nos jours, la Laîche puce n'est plus connue qu'au Cap d'Ailly (J. BUCHET, P. HOUSSET & J. VANGENDT en 2011) et à Dampierre-Saint-Nicolas, sur une pelouse marnicole de la vallée de la Béthune (J.-P. LEGRAND en 2003). Autrefois signalée dans le pays de Bray [Le TURQUIER de LONGCHAMP 1816], au Marais Vernier [ÉBRAN in LENNIER 1888], au Havre [ÉBRAN in LENNIER 1888], dans les vallées de l'Oison [PASSY 1874 ; NIEL 1889], de l'Epte à Gisors [NIEL 1889], de la Risle près de Brionne [NIEL 1889] et plus récemment, à Heurteauville (J. CHAÏB ; R. GUÉRY, R. ; C. LENEVEU & Y. TREMAUVILLE en 1982). [Rédaction : BUCHET et al. 2015] Réduire Considérée jadis comme peu commune dans l'Eure [NIEL 1889] et rare en Seine-Maritime [BLANCHE & MALBRANCHE 1864]. De nos jours, la Laîche puce n'est plus connue qu'au Cap d'Ailly (J. BUCHET, P. HOUSSET & J. VANGENDT en 2011) et à Dampierre-Saint-Nicolas, sur une pelouse marnicole de la val Suite |
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| Biotopes |
| Tourbières alcalines, bas-marais acides, prairies hygrophiles, pelouses calcicoles marneuses. [Rédaction : BUCHET et al. 2015] |
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