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Pourquoi un inventaire de la flore de Haute-Normandie ?

 

Ce projet vise à obtenir à une échelle communale, un inventaire floristique représentatif et significatif de l’ensemble des plantes sauvages vasculaires (plantes à graines et fougères) présentes en région Haute-Normandie.

 

Par ce programme d’inventaire, le Conservatoire botanique national de Bailleul entend :


 

 

 

 
  • Affiner la connaissance de la flore régionale, les enjeux de conservation des espèces végétales menacées en Haute-Normandie,
  • Fournir un outil d’aide à la décision en matière d’aménagement du territoire et de conservation du patrimoine naturel de Haute-Normandie,
  • Mesurer les évolutions passées, en cours ou à venir de notre flore, au regard soit des grandes tendances comme l’urbanisation, le changement climatique, soit de l’efficience des politiques de conservation de la nature,
  • Sensibiliser le public à la diversité du patrimoine végétal régional et à sa conservation.
L’inventaire de la flore de Haute-Normandie constituera un outil d’aide à la décision en matière d’aménagement et de gestion du territoire et permettra à court et moyen terme :
 
  • de définir et d’identifier la richesse du patrimoine naturel à l’échelle communale et régionale ;
  • d’orienter globalement et localement la gestion des ressources végétales naturelles ;
  • d’accompagner les politiques environnementales des collectivités territoriales;
  • d’apporter des informations nécessaires au réseau régional des gestionnaires d’espace naturel pour la conservation des plantes menacées et de leur habitat ;
  • d’apporter un premier éclairage sur les enjeux environnementaux lors de l’élaboration des projets d’aménagement.

 

 

Ce que l’inventaire n’est pas

L’inventaire ne dresse pas la liste exhaustive de toutes les plantes présentes dans chaque commune. La méthodologie est un échantillonnage du territoire communal, la prospection exhaustive de tout le département étant irréalisable. L’inventaire ne remplace pas les inventaires à réaliser dans le cadre d’études d’impact. La méthodologie et l’échelle de levée sur le terrain ne sont pas adaptées à ceux nécessaires dans le cadre d’une étude d’impact.